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Compilation réalisée par Eric Sourice et Silvère Vincent.
Numérisation vinyles : Fabien Cothenet. Mastering : Gilles Théolier. Photos cover & back : DR

Date de sortie : 04/05/2018. Distribution française : PIAS.
Le disque est également disponible en digital (streaming et téléchargement) à cette date.

*  *  * Chroniques / reviews *  *  *

“Who is Innocent? compiles all 16 of Fixed Up’s singles and EP tracks in one convenient, re-mastered package. There’s something very bracing about hearing all those songs back-to-back. Arranged chronologically, you can hear Fixed Up start true to their garage rock roots and move into soul territory as the years go by. » — i94bar.com (read full review)

“Who is innocent ? entame une tracklist remuante entre énergie et remous sentimentaux, le tout sur un tempo à faire stage-diver les défunts. Mettons un cocktail succulent entre high energy, rhythm & blues et garage punk blues, le bonheur rangé dans un petit objet également dispo façon numérique pour les dématérialisateurs de service” — Ged sur nawakulture (lire la chronique entière)

“Ce qui fait plaisir à entendre, c’est qu’en 2018, la musique de Fixed Up n’a pas pris une ride, elle respire toujours à plein poumon le R&B qui brule le plancher. La voix de François Lebas possède un timbre taillé pour ce type de rock, qui trouve ses origines dans le pub rock (Dr Feelgood) et le rock australien (The Saints, Died Pretty). Energique et frais, le SON Fixed Up est efficace.” — Pascal Larsen, foutraque.com (lire la chronique entière)

“La réécoute de ces titres, qui furent vite rangés dans le revival garage de l’époque, nous rappelle à quel point le groupe était bien plus que ça, introduisant des cuivres (“One Night Stand”) ou des chœurs (“Who Is Innocent ? », un tube) touchant au rhythm’n’blues dans leur basse/guitare/batterie pas si basique.” — Rolling Stone (France), mai 2018

 *  *  * Extrait de la presse de l’époque  *  *  *

“La Face A est un chef d’œuvre, une très grande composition et la face B aurait pu être de l’autre côté. Le 45t parfait. Celui qui claque, frappe, rentre-dedans, explose, tout en finesse.” — Tant Qu’il Y Aura Du Rock #14/15 à propos du EP “Who Is Innocent?”

“Who is Innocent” est sans doute ce qu’ils ont fait de mieux, tout en puissance, une pêche d’enfer, un son parfait pour une production irréprochable. Sur la pochette, un petot autocollant où il est écrit “Le tibe de l’été – L’entube de l’été”. La boucle est bouclée.” — JM Stetsor, Abus Dangereux, 1988 à propos du EP “Who Is Innocent?”

“Ce rythm’n’blues gorgé de tripes à la mode du Havre, ils l’avaient déjà gravé sur le EP-4 titres “Take A Look At Me”. Eh bien, ils ont récidivé, toujours sous la houlette de Barry Sage, un druide qui manipula les boutons pour les Rolling, dans le temps. Ça s’appelle “You Can Count Me In” (Sonics 02), et ça ferait guincher ce bon vieux Toulouse-Lautrec s’il était toujours là (sans parler de Claire Belle-Star, invitée au saxo). Avec ce rythm’n’blues-là, les Fixed-Up sont persuadés d’être invicibles : ils veulent maintenant en persuader les autres. (A vrai dire, ils n’ont qu’une seule crainte : que le plafond de la cave leur tombe sur la tête.) — Rock&Folk 1984

“”Quatre titres d’un R’n’B trio qui vole dans le sillage des Count Bishops ou du premier Little Bob Story. Avec une efficacité et une réussite certaine. Et leur nouveau simple est plus d’une confirmation. Nos trois ramoneurs ont kidnappé une saxophoniste aux Belle-Stars, pondus deux morceaux qui ne déparailleraient pas le “Prehistoric Sounds” des Saints, et glissé ça dans une pochette superlative.” — Nineteen #7, à propos du EP « Take A Look At Me »

Production australienne, filière Younger, Dickson, etc. C’est du R&B musclé, graisseux, alimenté par des éclats de cuivre fort bien venus. Fixed Up m’apprivoise petit à petit. Si leur dernier LP éVital HOurs” est dans la même veine, j’achète”. — Comme Un Boomerang #4, à propos du EP “One Night Stand”